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1.
Vaccines (Basel) ; 10(9)2022 Sep 17.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2044020

ABSTRACT

The emergence of the SARS-CoV-2 variants of concern has greatly influenced the immune correlates of protection, and there are little data about the antibody threshold concentrations to protect against infection with SARS-CoV-2 Omicron BA.1 or BA.2. We analyzed the antibody responses of 259 vaccinated healthcare workers, some of whom had been previously infected by SARS-CoV-2. The median follow-up was 179 days (IQR: 171-182) after blood collection. We detected 88 SARS-CoV-2 Omicron infections during the follow-up period, 55 (62.5%) with SARS-CoV-2 BA.1, and 33 (37.5%) with SARS-CoV-2 BA.2. A neutralizing antibody titer below 8 provided no protection against a BA.1 infection, a titer of 16 or 32 gave 73.2% protection, and a titer of 64 or 128 provided 78.4% protection. Conversely, the BA.2 infection rate did not vary as a function of anti-BA.2 neutralizing antibody titers. Binding antibody concentrations below 6000 BAU/mL provided no protection against Omicron BA.1 infection, 6000-20,000 BAU/mL provided 55.6% protection, and 20,000 or more provided 87.7% protection. There was no difference in BA.2 infection depending on the binding antibody concentration. Further studies are needed to investigate the relationship between antibody concentrations and infection with the Omicron BA.4/5 variants that are becoming predominant worldwide.

2.
Archives Des Maladies Professionnelles et De L'Environnement ; 83(4):359-360, 2022.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2012607

ABSTRACT

Introduction L’épidémie de COVID-19 a entraîné (au 06/05/2021) 3 209 416 décès dans le monde dont 104 848 en France. En août 2020, les premiers résultats d’un vaccin efficace étaient publiés. La campagne vaccinale anti-COVID-19 a commencé le 27/12/2020 en France, pays le plus hésitant à la vaccination au monde. Les professionnels des établissements de santé étaient priorisés dès le début de la campagne. Matériel et méthode Nous avons mené une étude prospective du 04/01 au 21/04/2021. L’objectif était d’estimer le taux d’adhésion à la vaccination contre la COVID-19 chez le personnel du CHU de Toulouse et d’étudier les facteurs impliqués. Un questionnaire anonyme en ligne portait sur la profession du répondant, son état de santé, son attitude par rapport aux vaccins en général, sa connaissance de la COVID-19 et de la vaccination. Le modèle multivarié par régression logistique avec ajustement a été utilisé pour les analyses statistiques. Résultats Le taux global d’adhésion à la vaccination contre la COVID-19 était de 74,8 % chez 1984 professionnels du CHU (12,2 % du personnel salarié total). Cette adhésion dépendait de l’âge (p global < 0,001) et de la profession exercée (p global < 0,001). Les professions médicales et les salariés ≥ 50 ans adhéraient le plus à la vaccination (p < 0,001). Cette adhésion était plus forte chez les hommes (OR : 1,42 ;p = 0,018), chez les personnes sans antécédent de maladie COVID-19 (OR : 0,53 ;p < 0,001), chez les salariés déclarant se vacciner contre la grippe saisonnière chaque année depuis 3 ans (OR : 2,74 ;p < 0,001) et chez ceux vaccinés contre la grippe A(H1N1) en 2009 (OR : 3,39 ;p < 0,001). La motivation principale de la vaccination était de protéger son entourage avant de se protéger (n = 1318 ;88,8 % vs n = 979 ;66,0 % ;p < 0,001). Au total, 1179 (79,4 %) professionnels pensaient que la vaccination était la seule solution pour résoudre l’épidémie. Pour les 215 personnes refusant la vaccination, les principales causes étaient le manque de preuve de sûreté des nouveaux vaccins (n = 146 ;67,9 %) et la crainte d’évènements indésirables (n = 108 ;50,2 %). Soixante-dix-neuf salariés déclaraient qu’ils ne changeraient pas d’avis sur leur refus de la vaccination. Chez les 500 salariés qui refusaient la vaccination ou qui n’étaient pas encore décidés, la principale mesure incitative à la vaccination était de « mieux les informer sur les vaccins disponibles » (n = 279 ;55,8 %). Conclusion Avant l’obligation vaccinale et le passe sanitaire, le taux d’adhésion à la vaccination de 74,8 % chez les professionnels du CHU de Toulouse était comparable aux 75,1 % de la population française favorable à la vaccination en général (2016). L’adhésion vaccinale contre la COVID-19 a peu été influencée par le contexte épidémique.

3.
Archives Des Maladies Professionnelles et De L'Environnement ; 83(4):350-351, 2022.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2012606

ABSTRACT

Introduction Depuis février 2020, l’épidémie de COVID-19 dérègle le secteur de la santé. Dans cette crise sanitaire, les services de santé au travail (SST) ont modifié leur fonctionnement pour répondre aux besoins des salariés et des employeurs. Face à ces adaptations, nous avons évalué le vécu de cette crise par les professionnels des SST des établissements de santé en France. Matériel et méthode Nous avons mené une étude de cohorte descriptive par questionnaire individuel anonyme du 04/01 au 06/04/2021. Ce questionnaire comprenait 24 questions abordant la composition du SST, le temps de travail, la réorganisation du SST, l’absentéisme et les relations professionnelles. Le questionnaire en ligne a été communiqué à l’ensemble des adhérents de l’ANMTEPH et sur le réseau CRIHAN (forum relatif à la santé au travail des personnels de soins). Le modèle univarié a été utilisé pour les analyses statistiques. Résultats Au total, 132 professionnels ont répondu à l’enquête dont 86 médecins et 34 infirmier(e)s. 89 (68 %) travaillaient en SST autonome d’établissement. Depuis le début de la crise, la difficulté à concilier vie professionnelle-vie privée était liée à l’augmentation du temps de travail et aux sollicitations professionnelles hors du temps de travail (p < 0,001). Du fait du rôle de leur SST dans la gestion de l’épidémie, 126 (96 %) professionnels déclaraient avoir réorganisé leur activité. Avec l’épidémie, le gain d’intérêt dans le travail était lié à la conservation du sens du travail (p < 0,001). 88 (67 %) répondants estimaient avoir pu respecter le secret médical dans cette crise, sans que les pressions hiérarchiques ou le manque de consignes nationales claires n’impactent ce devoir professionnel (respectivement p = 0,054 et p = 0,42). En raison de la crise, 35 (27 %) professionnels envisageaient de changer de poste à court terme et 23 (17 %) ne se prononçaient pas au moment de l’enquête. Le projet de changement de poste était lié à la perte du sens du travail (p < 0,001) et à l’absence de gain d’intérêt dans le travail (p = 0,002). Par contre, ce projet de départ ne dépendait ni de l’articulation vie professionnelle-vie privée, ni de la reconnaissance reçue pour l’implication dans la gestion de l’épidémie. Conclusion La crise liée à la COVID-19 a entraîné pour les SST : des réorganisations majeures pour s’adapter aux demandes des directions, des salariés et de l’état ;des pressions subies par les équipes vis-à-vis du secret médical/professionnel ;un impact sur la santé des professionnels se manifestant par de l’épuisement psychique et/ou physique ;un gain en visibilité plus qu’en reconnaissance ;des projets de changements de poste en proportion inquiétante.

5.
Microbiol Spectr ; 10(4): e0270621, 2022 08 31.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1938019

ABSTRACT

The neutralizing antibody response is a key component of adaptive immunity and a primary protection against severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infection. The increased transmissibility of the SARS-CoV-2 Delta variant and its capacity to cause more severe disease could be linked to a significant reduction in neutralizing antibodies generated during a previous infection or vaccination. We analyzed blood samples from 162 unvaccinated health care workers (HCWs) collected 1 to 3 months postinfection and from 263 vaccinated health care workers 1 month after the last injection. We have compared the neutralizing antibody titers obtained using two virus strains, B.1.160 and B.1.617.2 (Delta variant). Binding antibody concentrations were measured by an immunoassay. The median neutralizing antibody titer against the B.1.160 strain was 128 (interquartile range [IQR], 16 to 256) and 32 (IQR, 8 to 128) against the Delta variant. To obtain a neutralizing antibody titer of 32 or 64, a binding antibody concentration of 182 binding antibody units (BAU)/mL (IQR, 81 to 974) was required with the strain B.1.160, while a concentration of 2,595 BAU/mL (IQR, 1,176 to 5,353) was required with the Delta variant. Our data indicate that antibodies neutralize the SARS-CoV-2 Delta variant 4 times less efficiently than they neutralize an earlier strain. Half of the HCWs had decreased protection from 94% to 76.8% or less for the same total antibody concentration. But neutralization might be correlated with other immune responses. The contributions of other responses, such as those of the T cell and B cell systems, to protection require further investigation. IMPORTANCE Recent studies showed that the neutralizing antibody titer is an important contributor to protection against SARS-CoV-2. With the emergence of new variants, the question arises of maintaining the neutralizing capacities of vaccines and/or of a past infection. We had protective data associated with total antibody concentrations and neutralizing antibody titers for a B.1.160 strain. We showed that to maintain the same levels of protection and, therefore, the same levels of neutralizing antibodies, a total antibody concentration 8.5 times greater is required with the Delta strain. (This study has been registered at ClinicalTrials.gov under registration no. NCT04385108.).


Subject(s)
COVID-19 , SARS-CoV-2 , Antibodies, Neutralizing , Antibodies, Viral , Humans , Neutralization Tests , SARS-CoV-2/genetics , Spike Glycoprotein, Coronavirus
13.
Sci Rep ; 11(1): 12597, 2021 06 15.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1387480

ABSTRACT

The SARS-CoV-2 virus has spread world-wide since December 2019, killing more than 2.9 million of people. We have adapted a statistical model from the SIR epidemiological models to predict the spread of SARS-CoV-2 in France. Our model is based on several parameters and assumed a 4.2% seroprevalence in Occitania after the first lockdown. The recent use of serological tests to measure the effective seroprevalence of SARS-CoV-2 in the population of Occitania has led to a seroprevalence around 2.4%. This implies to review the parameters of our model to conclude at a lower than expected virus transmission rate, which may be due to infectivity varying with the patient's symptoms or to a constraint due to an uneven population geographical distribution.


Subject(s)
COVID-19 Serological Testing , COVID-19/epidemiology , Adult , COVID-19/prevention & control , Communicable Disease Control , Female , France/epidemiology , Humans , Male , Middle Aged , Models, Statistical , Seroepidemiologic Studies
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